Talila
Voir inscrits au-dessus de la porte d’une rue si parisienne ces mots : « Maison de la culture yiddish » me réjouit, comme faire résonner cette « langue d’intérieur » dans une boîte de jazz. Cette langue n’est ainsi plus liée à un décor poussiéreux qui avait son charme, mais l’enveloppait de tristesse nostalgique. Là, le yiddish a enfin la place qu’il mérite, ouvert au monde : il suffit de pousser la porte…